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AYA DE YOPOUGON - ABOUET, MARGERITE

 

ILUS. CLÉMENT OUBRERIE.

 

EDITORIAL NORMA

 

¡PREMIO ANGOULÊME 2006 AL MEJOR PRIMER ÁLBUM!

 

Aya, Adjoua y Bintou son tres amigas del barrio de Yopougon, en Costa de Marfil. Son jóvenes, guapas y tienen ganas de hacer cosas: una prefiere bailar, otra salir con chicos, y otra estudiar para ser algo más que un ama de casa. Lo único que quieren es vivir sus vidas, y eso ya es mucho.

 

Marguerite Abouet y Clément Oubrerie muestran la vida cotidiana de la juventud africana a finales de los años 70, a través de Aya, una chica de 19 años que vive en Yopougon, uno de los de barrios de Abiyán, la capital de Costa de Marfil.

 

El especialista Santiago García la sitúa en la corriente de novelas gráficas internacionales que abordan la memoria familiar femenina, inaugurada en el año 2000 por Persépolis de Marjane Satrapi.

 

Se está preparando una adaptación en dibujos animados por parte de Autochenille Production.

 

 

 

PARA SABER MÁS

 

Unidad didáctica para 4º de ESO - FRANCÉS

Martes, 24 de agosto de 2010 10:32 Publicaciones y materiales - RECURSOS DIDÁCTICOS

 

Unidad didáctica destinada al cuarto curso de Educación Secundaria Obligatoria (ESO), diseñada a partir del cómic "Aya de Yopougon" (2006, Marguerite Abouet, textos; Clément Oubrerie, dibujos).

 

Dans les années 1970, la vie était douce en Côte d'Ivoire. Il y avait du travail, les hôpitaux étaient équipés et l'école était obligatoire. J'ai eu la chance de connaître cette époque insouciante, où les jeunes n'avaient pas à choisir leur camp trop vite, et ne se préoccupaient que de la vie courante : les études, les parents, les amours... Et c'est cela que je veux raconter dans Aya, une Afrique sans les clichés de la guerre et de la famine, cette Afrique qui subsiste malgré tout car, comme on dit chez nous, "la vie continue"...

 

Des marchés de Château Rouge à celui de Treichville, des rues du Marais à la brousse africaine, il n’y a qu’un pas que franchissent avec toujours autant de bonheur Marguerite Abouet et Clément Oubrerie. C’est déjà le cinquième album et le soap de Yop-City n’a rien perdu de sa fraîcheur revigorante, de ses expressions imagées, ainsi que de son camaïeu d’ocres et de rouges. Les péripéties se succèdent, attendrissantes et faussement légères.

 

Par D. Lemétayer

En filigrane, et malgré l’insouciance qui semble régner, sont, une fois encore, évoqués le patriarcat, la question de l’émancipation féminine ou de l’acceptation, que ce soit celle de l’homosexualité ou bien encore de l’immigré. Le miracle ivoirien ne durera pas et « Joie-ville », le sobriquet du quartier de Yopougon fera long feu. Ils sont nombreux déjà ceux qui – prédicateurs, escrocs en tout genre – profitent des soubresauts d’une société en transition et des premiers remous de la crise à venir.Un sixième tome est d’ores et déjà annoncé. Le dernier ? Rien n’est moins sûr, une conclusion provisoire tout au plus, celle d'un cycle, comme l'avait été le troisième album. Pour la suite, tout dépendra de l’envie des auteurs. L’univers est riche et les projets ne manquent pas. Dans les cartons, il y a déjà ce roman graphique policier sur les enquêtes musclées du Commissaire Kouamé dans les ruelles d’Abidjan et, pour les plus jeunes, les aventures d'Akissi, une petite fille un rien garçon manqué dans son quartier de… Yopougon !

 

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